Plantes des rizières de Camargue

P. Marnotte, A. Carrara, E. Dominati, F. Girardot

La diversité des activités

Jean-Claude Mouret. Inra, Montpellier

Les potentialités du milieu physique camarguais, qui s'expriment pleinement grâce à son aménagement, permettent de développer des activités diverses, complémentaires ou concurrentes de l'agriculture en général et de la riziculture en particulier.

L'élevage Taureaux et chevaux vivaient autrefois à l'état sauvage dans les bois et les marais de la Basse Camargue. Considérés comme gibiers à l'époque préromaine, ils se sont intégrés progressivement à l'économie agricole, tout d'abord pour la production de viande et de travail, puis dans le cadre d'activités tertiaires. Ces élevages de races rustiques utilisent essentiellement des espaces de faible rentabilité agricole : les sansouires et les marais.

Le tourisme Chaque année, plus d'un million de touristes visitent la Camargue. Le climat, la faune, la flore et les activités folkloriques liées à l'élevage des taureaux et des chevaux sont les principaux attraits de ce rivage méditerranéen. L'activité touristique, en forte expansion, vient souvent en complément de l'activité agricole, en particulier, de l'élevage. Elle crée des emplois dans les exploitations agricoles et permet de valoriser les bâtiments inutilisés.


Pour tout savoir sur les plantes des rizières de Camargue, commandez l'ouvrage de P. Marnotte, A Carrara, E. Dominati et F. Girardot, publié en 2006 par les éditions Quaé.

En savoir plus sur l'ouvrage